MES PARENTS :
Pour commencer mon histoire, je vais vous parler de mes parents : Ma mère, était une très belle femme qui était appréciée par tout le monde. Elle était très gentille mais détestée ceux qu’elle considérait comme moche. Quand je fus nait, elle fut choquée de voir un bébé tout rond avec pleins de plis, le contraire de ce que ma mère espérait. Le gynécologue lui expliquait que c’était normal et que j’allais maigrir il fallait juste être patient. Alors elle a attendu, jusqu’à mes trois ans, ou elle décida qu’il était temps pour moi de faire un régime. Malheureusement pour ma mère, j’aimais la nourriture et c’est impossible que je supporte encore les salades ou les carottes qu’elle me faisait chaque jour sans me donner un dessert. Il était vrai, à une époque j’étais maigre mais quand j’appris à marcher et à parler je piquer sans qu’on me vois de la nourriture. Et un jour, je suis devenu gros au grand désespoir de ma mère. Elle piquer des crises de nerf tellement je n’arrivais pas à maigrir et disait qu’elle ne voulait pas de ça comme fils. Ce fut des paroles très dur qui me restera toujours en mémoire. Donc je ne connus en aucun cas l’amour d’une mère.
Ensuite mon père, lui aussi était terrible avec moi, il croyait que je n’avais aucune intelligence et que je n’étais seulement qu’un tas de graisse qui était bête. Comme il avait tort, je comprenais facilement les livres compliqués et j’étais le plus fort à l’école. Je n’avais jamais droit d’avoir un sourire de sa part, ou une caresse non c’était plus un regard glacial et sévère qui me faisait peur. Heureusement pour moi, ils ne m’ont jamais tapé dessus…Quelques fois je voyais bien la main de mon père ou de ma mère se levait brusquement pour me donner une baffe mais ils s’abstenaient au dernier moment.
Quand j’eus enfin l’âge d’aller à l’école, je fus rassuré. Je n’allais pas devoir supporter le désespoir de mes parents. Bien sûr, j’avais droit à être le souffre douleurs de ma classe ainsi que les moqueries. Les maitresses pensaient que je trichais en cours et donc ne m’aidais absolument pas. Même si c’était très dur, au moins je pouvais m’isoler dans la bibliothèque ou il n’y avait personne, pour manger tranquillement mes chips et pouvoir lire sans que personne ne me parle.
Vous me dirais peut-être pourquoi je continuais toujours à manger ? Pourquoi je n’écoutais pas mes parents ? Beaucoup d’adultes m’ont posé ces questions…Pour moi, qui n’ai reçu aucun amour de mon père et de ma mère, manger me permettais d’être libre de prendre ce que je désirais et ce que j’aimais.
Je me rappelle, en rentrant chez moi j’avais rencontré une vieille dame et je l’avais aidé à portée ses courses. Elle m’avait dit avec un grand sourire sans me regardé de haut en bas, juste en me fixant dans les yeux que j’étais très gentil et qu’il fallait que je garde précieusement cette qualité. C’était la première fois, que quelqu’un me disait quelque chose de gentil et je lui avais remercié avec un grand sourire aux lèvres sans me rendre compte que je pleurais.
Toujours même dans les moments difficiles, je gardais en mémoire les paroles de cette vieille dame. A l’école je ne me battais jamais, chez moi j’écoutais mes parents sans rien dire, pour ne pas devenir méchant et être comme ceux qui m’ont persécuté. Le soir, en me couchant je ne rêve qu’une seule chose, partir loin d’ici et me retrouver avec pleins d’amis qui m’aimerait pour ma juste valeur et qui n’auraient pas de préjugés sur mon physique.
Mais je ne savais pas qu’à mes huit ans, ma vie changera royalement et que mon rêve devint une réalité.
LES ADIEUX :
Je venais juste d’avoir huit ans, quand pour la première fois de ma vie mes parents me demandèrent à ce que je les rejoigne dans le salon. Je vis mon père qui avait une lettre à la main et qui la mise dans sa poche, ma mère quant à elle, me fixait d’un regard joyeux. Joyeux ? C’était la première fois, que j’avais droit à une attention de sa part…Il était trop tôt pour que ça soit noël….Je leurs demandais ce qu’il se passait. J’ai eu droit à une réponse très vague sans explication, mais que je n’irai pas à l’école le lendemain ils m’emmenaient autre pars. Peut-être qu’ils avaient enfin accepté le faite que je sois gros ? Et qu’on partait s’amuser ou je ne sais quoi… J’ai même eut droit de regarder la télé avec eux, chose extrêmement rare. Cette nuit-là je fus tellement surexcitée de savoir ce qu’il allait se passer que je n’arrivais pas à dormir. Pourtant le marchand de sable, arriva et au bout de quelques minutes mes yeux se fermaient doucement, rêvant que mes parents étaient heureux avec moi et qu’on rigolait ensemble.
Le lendemain, ma mère vint me réveiller doucement, elle me souriait tendrement. Etait-ce un rêve ? Ou la réalité ? Je ne savais plus, je décidais donc de me préparer avant de prendre le petit déjeuner. Puis j’eu un petit cri d’exclamation, sur la table il y a avait pleins de choses à manger, un véritable festin. Je ne me privai pas pour tout manger en me régalant, c’était un vrai délice. Quand j’eus finis, je fixais mes parents, ils étaient heureux…Mais je voyais bien une pointe de tristesse dans leurs regards. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait….Je voulais leurs demander mais j’avais peur de leurs réponses…Ou qu’ils me disent que ce n’était qu’un rêve. Ils m’emmenaient tous les deux en voiture, j’étais à la fois surexcité pensant que tout t’allais s’arranger et que nous serions unis mais au fond de moi j’étais anxieux. La route était longue, je ne pus m’empêcher de m’endormir. A mon réveil, la voiture était arrêté et mes parents étaient sortis pour discuter avec un inconnu, en costume cravate et lunettes noirs qui me semblais très suspect.
Je fus prise par une grande panique, non on n’allait pas au parc d’attraction, non leurs sourires étaient faux et j’allais devoir suivre l’homme en costard. Il n’était pas question, je voulais m’enfuir, mais je ne savais pas conduire une voiture et surtout si je sortais, ils allaient me rattraper. Mon père arriva, ouvrit la portière pour me forcer à sortir. J’étais angoissé, je ne comprenais rien et mon corps tremblait terriblement.
J’étais devant le gars en costard noir qui me fixait enfin plutôt il m’analyser. Je déviais son regard pour ne pas le regarder en face tellement j’avais peur. Quand il eut fini, l’homme me demanda de me suivre. Brusquement je me retournais vers mes parents, les suppliants de ne pas m’abandonner, m’excusant de mon comportement et surtout que je les aimais de tout mon cœur. Mes parents, pleuraient énormément, jamais je les avaient vus dans un état pareil. Doucement, ma mère me pris dans ses bras, me disant qu’elle était désolée de son comportement odieux avec moi et qu’elle ne voulait pas me quitter. Mon père, quant à lui, mis sa main sur mon épaule pour s’excuser aussi et lui dire qu’il était fière de moi.
Pourquoi que maintenant ? Pourquoi je devais les quitter alors qu’ils s’en voulaient terriblement ? Non je ne voulais pas que ça se passe comme cela…Ma dernière parole et mes derniers souvenirs de mes parents s’arrête là, l’homme en costard noir, m’avait fait sentir un somnifère pour que je m’endorme.
MA NOUVELLE VIE :
Aujourd’hui, j’ai 13 ans et ça fait 6 ans que je vis dans un orphelinat et je n’étais plus dans ma ville natale. Je vivais paisiblement, oubliant mon passé, vivant dans le présent. Quand je fus arrivé à mes huit ans, je ne parlais peu et j’avais l’impression d’être le plus jeune dans cette grande ville où il n’y avait que des adolescents. Mes parents me manquait terriblement, je pensais a eu et je me sentais seul dans l’orphelinat. Au début j’étais plutôt solitaire, ne parlant à personne et ne lisant que des livres. Après quelques semaines d’adaptations, je sus que je ne pouvais partir et au fond de moi je voulais rester ici. J’avais beaucoup plus de liberté, personne ne m’embêtait et j’étais vraiment en paix. Je pouvais manger ce que je voulais sans qu’on me le critique, grossir mais ne pas en devenir obèse et surtout ce que j’aime le plus lire des milliers de livres à n’importe quelle heure. Les adolescents de l’orphelinat ne me regardaient pas avec mépris ou dégout, au contraire ils étaient sympathiques et souriant.
Un jour, j’étais tranquillement en train de lire un bouquin, quand un groupe d’adolescent vient me voir. J’étais un peu timide devant les personnes que je ne connaissais pas et surtout je ne savais pas quoi dire. Puis, l’un deux m’a parlé pour que je rejoigne le groupe, je ne voulais pas devenir une gêne pour eux mais ils ont persistés. Alors au fil du temps, on apprit à se connaitre et à devenir de très bons amis. On trainait toujours ensemble et j’adorais parler avec eux et leurs racontais ce que je lisais. Je ne parlai pas de mon passé, ne voulant pas les ennuyait avec ça et je ne voulais pas qu’on me plaigne ou qu’on me rejette. Car oui, je m’étais trop attaché à ce groupe et je ne voulais plus partir et j’avais surtout peur de perdre mes amis. Pour moi, c’était ma nouvelle famille et je les aimais comme mon père et ma mère…Voir plus, comme il n’y avait pas de préjugés ou de dégout dans leurs regards.
Tout ce passa merveilleusement bien, j’avais des amis, je rigolais, m’amuser à faire des farces et j’allais tranquillement étudier au collège de la ville. Je ne savais rien des conflits et des dangers qu’il y avait derrière c
Cette ville idéal. Mais un évènement inattendu arriva et qui changea encore ma vie… .
LA VERITÉ :
Un jour, je partais du collège pour aller à l’orphelinat, je vis tout le monde courir dans tous les sens essayant de fuir quelque chose ou quelqu’un, je ne savais pas ce qu’il se passait. En tout cas, la situation était grave et tout le monde était paniqué. Je regardais de droite à gauche pour me faufiler dans cette grande masse de gens qui fuyaient. Je n’étais pas très fort en sport, mais je courais de toutes mes forces en essayant d’être le plus rapide possible. Malheureusement, je m’essoufflais rapidement et j’avais du mal à suivre.
J’avais l’impression que ça faisait des heures qu’on courait, j’avais faim, j’avais soif, j’avais peur et surtout j’étais très fatigué. Ma course se faisait de plus en plus lente et j’étais angoissé comme je ne voyais pas mes amis. Tout d’un coup, je trébuchais brutalement me faisant terriblement mal au genou droit. Je n’arrivais pas à me relevais, j’étais seul et je sentais que je n’allais pas y arriver. Je sentis des larmes coulaient sur mon visage, c’était la première fois que j’étais dans un état comme ça. J’essayer désespérément de me relever, mais en vain mes jambes ne voulaient pas bouger. Je criais à l’aide jusqu’à ne plus avoir de voix, malheureusement tout le monde avaient trop peur pour entendre mon appel de détresse.
Brusquement, un coup de pied toucha brutalement mon visage. Je sentis que mon nez était cassé, que je devais saigner énormément et que je devais avoir un gros bleu. Je fus tellement sonné, que je tombais dans les pommes.
A mon réveil, j’ouvris difficilement les yeux et m’aperçus que je n’étais plus dans la ville mais plutôt dans un van. Je ne connaissais personne et je ne savais pas où j’étais. Un adolescent était à côté de moi et me regardais un œil inquiet. Tous les regards étaient braqués sur moi, je devais être vraiment dans un sal état… Je baisais les yeux tellement j’étais intimidé et je demandais à l’inconnu à côté de moi ou on était.
L’inconnu m’expliqua, que lui non plus il ne savait pas où on était. Pendant quelques minutes, il y eut un long silence et personne ne bougea et ne parla. Jusqu’à ce qu’un adolescent décide de se levait et nous dis d’une voix furieuse la situation ou on était.
Mon cœur s’accéléra, mes mains tremblaient tellement je ressentais de sentiments négatifs quand l’adolescent parlais. Il nous dit que nous étions des cobayes d’une organisation s’appelant Umbrella Corporation. Dehors c’est un monde apocalyptique, dû à un virus, les hommes sont devenu des zombies. Nous, par des expériences scientifiques, nous étions immunisés contre ça. On était, les rares survivants, l’organisation fut détruite et la ville idéale où nous étions n’était que virtuel.
Je n’entendis pas la suite, tellement je fus choqué et attristé. Alors c’était ça, mes parents m’avaient abandonné pour que je devienne qu’un cobaye ? Une expérimentation pour la société ? Pour la première fois de ma vie, je ressentais une terrible colère contre ma famille. Je voulais les pardonner, leurs laisser une chance et non ce n’était en fait que de la comédie quand ils ont pleuré avant que je m’endorme.
Je ne pus m’empêcher de sangloter, de criais et de taper sur ce gros van. Je me retrouvais tout seul, j’avais perdus mes amis je ne savais pas où ils étaient, je me retrouvais avec des adolescents que je ne connaissais pas et surtout mes parents me détestait, ils me haïssaient et ne voulaient plus de moi. Qu’est que je vais devenir ? Seul je pourrais jamais survivre c’était impossible. Retrouvais mes parents ? Non je ne pouvais pas, surtout il y avait une grande chance qu’ils soient infectés par le virus. J’étais fatigué et je ne savais pas quoi faire… Je me répétais que c’était un mauvais rêve et que j’allais me réveiller. Mais rien à faire j’étais toujours dans ce satané van avec les regards inquiets qui me fixait ne savant pas comment me rassurer.
Le jeune homme à côté de moi, mis sa main sur mon épaule et me dis des paroles réconfortantes. Au début je n’y croyais pas, lui il avait de la force pour se battre… Alors que moi j’avais quoi ? Rien à part mon intelligence mais ça n’allais pas m’aider à survivre. J’étais bien partit pour être déficit tellement les évènements me dépassé complétement. Au bout de moment, je ne pleurais plus, au fond de moi écoutais quelqu’un me rassurait.
Je sus qu’il s’appelait Thomas et qu’il avait une petite amie Effy, il voulait la retrouver. Je pensais à mes anciens amis me demandant s’ils avaient réussis à aller dans un autre van.
Pourtant, au bout d’un moment, je lui dis qu’il ne fallait pas qu’il s’inquiète et qu’il retrouvera sa petite amie. Au fil des heures de route, on apprit à se connaitre et à sympathiser. Je me confiais à lui disant que j’avais peur et que je n’avais aucune force physique pour pouvoir survivre. Mais Thomas me dis avec une grande confiance qu’il ne m’abandonnerait pas et qu’il allait me protéger.
Face à ses paroles, je me sentis mieux beaucoup mieux, comme si on avait enlevé un gros poids en moi. Je n’étais plus seul et que je pouvais avoir confiance en lui. Le van s’arrêta, toujours aucun signe de vie de mes amis je pris la décision de suivre Thomas, qui avait retrouvé sa petite amie Effy. Nous étions un petit groupe soudé, pour moi c’était ma seconde famille et que je voulais garder précieusement.
LA BLESSURE :
Voici mon histoire, triste certes, mais j’ai toujours des merveilleux souvenirs avec le groupe ou j’étais. Je n’avais pas retrouvé mes anciens amis et j’espérais toujours qu’ils aillent bien et qu’ils aient trouvé un groupe gentil comme moi. Mais je ne vous ai toujours pas raconté ma blessure sur mon bras.
Un jour tout le monde était en train de chasser et moi je devais rester dans le campement pour que je ne sois pas en danger. Mais j’en avais marre d’attendre, de rien faire pour aider les autre moi aussi je voulais chasser. Alors discrètement, je pris mon couteaux de chasse et partit a la recherche d’un animal. Je voulais montrer à mes amis que moi aussi je me suis entrainer pour être plus fort et qu’ils pouvaient arrêter de me protéger à tout bout de champs. Ce n’était pas un simple lapin ou quoi que ce soit qui allait me tuer. Je m’enfonçais de plus en plus dans la forêt déterminer, sans regarder ou j’allais et un moment donné je ne savais plus ou j’étais. J’avais perdu toute trace du campement et j’étais complétement perdus. Très paniqué, j’essayais tant bien que mal de trouver mon chemin, heureusement pour moi pour l’instant il n’y avait pas de zombies.
Je marchais pendant des heures, regrettant d’être partit tout seul sans le dire à personne. Tout d’un coup j’entendais les voies des personnes de mon groupe qui me cherchait. Heureux et soulagé je courais à toute vitesse pour les retrouver. Mais brusquement je m’arrêtai, je pouvais sentir un loup affamé qui était derrière moi. Je me retournais doucement, serrant fortement mon couteau prêt à attaquer à tout moment. Mais l’animal fut plus rapide, se jeta brusquement sur moi, m’attaquant avec ses griffes, surpris je lâchai mon arme et j’essayais tant bien que mal de me protéger avec mes bras. Recevant une longue coupure sur le bras droit, je ne pus m’empêcher de criais tellement ça me faisait mal. Tout d’un coup, le loup ouvrit la gueule pour me mordre et j’essayais tant bien que mal de tenir fermement sa gueule pour qu’il ne me morde pas.
Au bout d’un moment, j’ai crus que c’était la fin et que j’allais être mangé. Quand tout d’un coup, le loup tomba raide mort à côté de moi. Mon groupe m’avait sauvé, bon il y a eu la scène émotionnelle ou tout le monde et moi étaient heureux et très soulagé. Avec pleins de câlins, pleins de soulagement tout ça tout ça…. .
Par contre le soir, j’ai eu droit à une bonne leçon de moral de trois heures et en plus priver d’avoir du rab pour le diner. Je ne vous dis pas, qu’après cette bêtise j’ai arrêté illico presto de chasser tout seul pour ne pas encore avoir cette punition.